Annexe 1
Lettre adressée par
Paul de la Croix
à sa famille au moment de la quitter en 1724
"Très chers frères et sœurs en Jésus-Christ!
Moi, très pauvre et très grand pécheur, Paul-François, votre frère
et le très indigne serviteur des Pauvres de Jésus-Christ, je me sens
obligé, par une disposition de la Providence, de quitter le pays
pour obéir aux saintes inspirations du ciel, de me retirer dans la
solitude pour exciter, non seulement les créatures raisonnables,
mais encore celles qui sont privées de raison et de sentiment, à
s'unir à moi pour pleurer mes grands péchés et pour louer notre bon
Dieu que j'ai tant offensé !
Avant donc de partir pour cette sainte retraite, je crois devoir
vous laisser, à vous, mes frères et mes sœurs, quelques avis
spirituels, afin que vous avanciez chaque jour avec une plus grande
ferveur dans l'amour d'un Dieu si bon.
En premier lieu, observez avec grande exactitude la sainte loi du
Seigneur. Ayez une crainte filiale pour ce Dieu aimable qui nous a
créés et rachetés. Sachez, mes bien-aimés, que plus un fils aime
tendrement son père, plus il craint de lui déplaire, de le mettre en
colère, enfin de l'offenser. Ainsi, vous, mes bien aimés, ayez une
sainte crainte d'offenser Dieu; elle sera pour vous comme un frein
qui vous empêchera de tomber dans le péché. Aimez ce tendre Père
d'un amour très ardent, ayez pour lui la plus tendre et la plus
respectueuse confiance; en un mot, que toutes vos actions, toutes
vos paroles, vos soupirs, vos peines, vos travaux, vos larmes,
soient un holocauste offert à son saint amour.
Pour vous maintenir dans sa divine grâce, fréquentez les sacrements,
c'est-à-dire, la confession et la communion. Quand vous vous
approchez du saint autel, proposez-vous pour fin principale de
purifier toujours de plus en plus votre âme dans le feu du saint
amour. Ah! mes bien-aimés, je ne vous parle pas de la préparation,
parce que je pense que vous ferez de votre mieux. Souvenez-vous
qu'il s'agit de l'action la plus sainte qu'il soit possible de
faire. Ah! certes, notre bon Jésus n'a rien pu faire de plus que de
se donner lui-même en nourriture; aimons donc ce tendre amant. Soyez
fort dévots envers le Saint-Sacrement; allez souvent à l'église, et
visitez avec grande piété l'autel de la sainte Vierge, et cela,
faites-le surtout avant d'aller en classe, et engagez les autres
enfants à le faire. Ne passez pas un jour sans faire une demi-heure
ou au moins un quart d'heure d'oraison mentale sur la douloureuse
passion du Sauveur; faites-en plus, si vous pouvez; mais du moins
employez-y toujours ce temps.
Ayez un souvenir continuel des douleurs de notre Amour crucifié, et
sachez que ces grands Saints qui maintenant triomphent dans l'amour,
là haut, dans le ciel, sont arrivés à une haute perfection par cette
voie. Ainsi exercez-vous dans cette céleste pratique le plus que
vous pourrez, et surtout le jour de la sainte Communion. Ayez une
tendre dévotion aux douleurs de Marie, à sa sainte et immaculée
Conception, à votre Ange gardien etc... à vos saints patrons, et
surtout aux saints Apôtres. Rendez-vous familières les oraisons
jaculatoires, et accoutumez votre coeur à en faire. J'en mets ici
quelques-unes pour votre plus grand avantage.
Ah ! Mon bon Dieu! Que ne vous ai-je jamais offensé! Espérance de
mon cœur, plutôt mourir mille fois que de pécher encore! Ah! Mon
Jésus! Quand est-ce que je vous aimerai? Ah! Mon souverain Bien!
Blessez, blessez mon cœur de votre saint amour! Celui qui ne vous
aime pas, Ô mon Dieu, ne vous connaît pas! Ah! Si tous vous
aimaient, ô Amour infini! Quand est-ce que mon âme sera tout
embrasée de votre sainte charité? Actes de résignation. Que votre
sainte volonté soit faite! Que les traverses soient bienvenues!
Chères souffrances, je vous embrasse et je vous serre contre mon
cœur! Commandements du Seigneur, soyez ma joie! Quelle belle
souffrance! Ah! Main paternelle de mon Dieu, je vous baise! Soit
bénie la verge sainte qui me frappe avec tant d'amour! Ah! Tendre
Père! Il m'est bon d'être humilié! Mon Dieu, vous êtes tout mon
bien!
Faites fréquemment des actes de repentir de vos péchés et d'amour de
Dieu. Vous pouvez faire cela en allant et venant, en travaillant, et
même dans la compagnie des autres, parce qu'enfin, si les hommes
sont autour de votre corps, ils ne sont pas autour de votre cœur;
ainsi vous pouvez produire beaucoup d'actes intérieurs, même au
milieu des occupations les plus sérieuse."
Paul-François continue en exhortant
efficacement ses frères et sœurs à pratiquer une exacte obéissance
envers leur père et leur mère. Il appelle l'obéissance une perle
céleste, une vertu dont le Seigneur nous a donné un exemple
éclatant, en laissant par obéissance sa très sainte vie sur l'arbre
de la croix. Il les avertit que ce ne serait pas pratiquer
l'obéissance avec perfection, si, quand il s'agit de choses
importantes, ils ne se faisaient pas un devoir de dépendre de la
volonté et des conseils de leur père et de leur mère. Voulant
ensuite les tenir éloignés des dangers du monde il écrit:
"Lisez, dans le cours de la journée, quelque ouvrage de piété, et
fuyez comme le diable les mauvaises compagnies."
Il leur recommande ensuite d'être
justes envers tout le monde, de payer leurs dettes sans retard s'ils
en avaient, et s'ils ne le pouvaient pas, de prier humblement leurs
créanciers d'avoir compassion d'eux.
"Humiliez-vous, humiliez-vous devant tout le monde, pour l'amour de
Dieu."
Comme il avait, de la sainte charité,
l'estime singulière qui lui est due, il continue en ces termes:
"Enfin, je vous prie de vous souvenir toujours du saint commandement
de l'amour que Jésus donna à ses disciples pendant la dernière cène,
avant d'aller à la mort. Voici ce qu'il leur dit: 'Mes chers
apôtres, je vous donne un commandement nouveau, c'est que vous vous
aimiez les uns les autres, comme je vous ai aimés moi-même.' Ah!
Quel doux langage! Le modèle est sous nos yeux: aimez-vous,
aimez-vous! Chers frères et chères sœurs, souvenez-vous que jamais
vous ne plairez à Dieu, si vous ne vous aimez les uns les autres.
Qu'il n'y ait jamais aucune dissension parmi vous; et si quelquefois
il vous échappe une parole aigre, adoucissez-vous aussitôt, ne
continuez pas à parler, ne laissez pas maîtriser votre cœur par
l'indignation. Je vous répète donc avec saint Jean, apôtre et
évangéliste: Aimez-vous, aimez-vous, parce que c'est à cela qu'on
reconnaît l'amour de Dieu. Ayez aussi beaucoup de compassion et de
charité pour les pauvres du Seigneur."
Enfin Paul-François conclut tous ces
avis par ces paroles pleines de piété et d'affection:
"Je vous laisse donc dans les plaies sacrées de Jésus, sous la
protection de Marie, la Vierge des douleurs; oui, c'est là que je
vous laisse, vous et toute la famille. Je prie cette bonne Mère de
vous baigner le cœur de ses larmes douloureuses, afin que vous ayez
un continuel souvenir de la passion très amère de Jésus-Christ et de
ses propres douleurs. Je la prie de vous obtenir la persévérance
dans le saint amour de Dieu, la force et la résignation dans les
souffrances. Recevez donc pour votre grande protectrice
Notre-Dame-des-Douleurs, et n'abandonnez jamais à l'avenir la
méditation de la Passion de Jésus-Christ. Que Dieu, dans sa
miséricorde, répande sur vous tous sa sainte bénédiction! Priez-le
aussi pour moi. Deo gratias!
Votre frère très indigne, Paul-François Danei, le dernier des
serviteurs des Pauvres de Jésus-Christ."
Annexe 2
Lettre de
Paul-François Danei, à sa maman
après la mort du père de ses enfants
"Très chère mère!
La nouvelle de la mort de notre père nous a causé, vous n'en doutez
pas, une grande, affliction, d'autant plus qu'elle nous est arrivée
sans détails. Il est vrai que nous avons à l'instant même adoré la
sainte volonté de Dieu. Nous venons vous prier de vous en consoler.
Chère mère, réjouissez-vous, car nous avons la ferme confiance qu'il
est en paradis. Faites partager cette joie à toute la famille. Je ne
vous écris pas plus longuement; je vous dis seulement que bientôt
nous partirons tous les deux et que nous aviserons aux moyens de
vous assister dans vos besoins pour la gloire de Dieu. Aujourd'hui,
que nous avons reçu votre lettre, nous irons demander la permission,
et puis nous verrons ce qu'il sera le plus expédient de faire et
nous partirons aussitôt. Nous espérons que ce sera au commencement
de septembre. Priez pour nous demain, et les jours suivants, nous
dirons la messe pour l'âme de notre défunt père.
Rome, le 16 août 1727.
Vos serviteurs et fils très affectionnés, Paul-François et
Jean-Baptiste."
Annexe 3
Lettre pour le décès
de sa mère
"La très sainte Passion de Jésus-Christ soit toujours dans nos
cœurs!
Mes bien-aimés en Jésus-Christ,
J'ai reçu votre lettre qui m'apprend l'heureuse et sainte mort de
notre bonne mère. La nature n'a pu s'empêcher de payer son tribut,
en nous faisant éprouver quelque sentiment de peine; mais cette
peine s'est trouvée bien adoucie, lorsque nous avons considéré ce
grand coup dans la volonté divine qui ne peut vouloir que le mieux.
Dans nos trois Retraites (ou Maisons), on a chanté la messe et
l'office des morts. Nous continuons tous les trois de célébrer le
saint Sacrifice pour l'âme d'une si bonne mère, bien que nous ayons
la douce confiance qu'elle n'a plus besoin de ce secours; il nous
semble en effet ne pouvoir douter que déjà notre bon Dieu ne l'ait
reçue dans le sein de son infinie miséricorde au saint Paradis.
Ainsi, nous devons nous réjouir tous, de ce qu'après tant de peines
qu'elle a souffertes avec une constance, une patience et une
résignation si grandes, elle jouit maintenant, pour toute
l'éternité, du fruit de ses vertus, grâces aux mérites de la très
sainte Passion de Jésus-Christ. Nous avons même le bonheur de
l'avoir pour avocate dans le royaume du ciel, puisque dans cette
vallée de larmes, elle n'a jamais cessé par ses bons exemples et ses
ferventes exhortations de nous porter et de nous exciter tous à
courir dans la voie de la perfection et de la sainteté. Il nous
reste maintenant à garder fidèlement le souvenir de ses leçons et de
ses exemples, à imiter sa piété, sa patience et sa résignation
toujours soutenues, afin de lui être un jour réunis pour chanter les
miséricordes de Dieu, dans le beau royaume de la gloire."
Annexe 4
Lettre à son frère
Joseph
Lorsque Paul de la Croix eut apprit le décès de son excellente mère,
voyant le besoin pressant qu'avait sa famille de ses sages conseils,
il ne se contenta pas de faire l'éloge mérité de la défunte, et de
la donner pour modèle à ses enfants, mais il y joignit des avis
importants, disant avec une vive affection au plus âgé de ses frères
:
"Mon cher Joseph, je vous recommande de veiller avec soin sur nos
bonnes sœurs. Qu'elles se souviennent qu'elles sont plus obligées
que les autres de donner le bon exemple et de se sanctifier, en se
conformant aux instructions que je leur ai données de vive voix et
par écrit. Qu'elles vivent retirées, qu'elles travaillent, qu'elles
fassent oraison et qu'elles fréquentent les sacrements. Surtout,
qu'on ne permette pas aux étrangers l'entrée de la maison, quand
même ce serait des gens d'église, parce que, bien qu'on doive penser
que tout le monde est pieux et saint, il ne faut cependant se fier à
personne. Oh! Quelle expérience j'ai acquise depuis tant d'années
que je donne des missions! Oh! Avec quelle instance je le recommande
au peuple! Il faut veiller sur soi, il faut avoir la confiance la
plus filiale en Jésus-Christ, en la très sainte Vierge, aux Anges et
aux Saints; mais pour les hommes, il faut les fuir. C'est le conseil
de l'Ange à saint Arsène. J'ai toute confiance que nos bonnes sœurs
deviendront saintes et qu'elles feront l'exemple des autres.
Croyez-moi, mes bien-aimés, vous êtes les gens les plus fortunés du
monde: pauvres en cette vie, mais riches de foi, vous serez riches
dans l'éternité. Savez-vous pourquoi Dieu vous soumet à tant de
misères et de peines? Parce qu'il veut vous donner les richesses du
ciel. C'est par ce moyen qu'il vous assure le salut éternel. La
souffrance est courte, et ne dure qu'un moment; la jouissance sera
éternelle. Dites-moi: que voudriez-vous avoir fait, si vous deviez
mourir à cet instant même? Voudriez-vous avoir vécu dans les
richesses qui, d'ordinaire, entraînent à de grands péchés et puis
être jetés dans l'enfer, ou bien avoir mené une vie pauvre, comme
celle que vous avez à présent, et vous envoler au ciel? Ayez donc
bon courage. Tenez pour certain que jamais Dieu ne vous abandonnera,
mais qu'il vous assistera et vous donnera le nécessaire ."
Annexe 5
Quelques documents sur
la spiritualité
de saint Paul de la Croix
Lorsqu'il eut reçu l'ordre d'écrire le projet de ce qui serait la
Congrégation des Passionistes, Paul de la Croix écrit comme un
résumé de sa propre spiritualité. Dans son récit "à propos de la
rédaction des Règles", il exprime ce que sont ses sentiments les
plus profonds:
– un grand respect envers la mère de Dieu,
– un grand amour de la perfection,
– une dévotion très spéciale envers la Passion de Jésus-Christ.
Ainsi, il écrit:
"Sachez-le bien, mes chers frères, le
motif principal pour lequel nous sommes vêtus de noir, selon
l'inspiration particulière que Dieu m'en a donnée, c'est afin de
porter le deuil en mémoire de la Passion et de la mort de Jésus.
Nous ne devons donc jamais oublier d'en conserver un continuel et
douloureux souvenir. Que chacun des Pauvres de Jésus s'applique à
insinuer à tous ceux qu'il pourra, la pieuse méditation des
souffrances de notre très doux Jésus.
En 1725, alors qu'il se trouvait à
Gaëte, dans un ermitage trop bruyant, Paul écrit, entre autres, à
son confesseur: "Que la très
sainte croix de Jésus, notre amour, reste toujours plantée dans
notre cœur! Que notre esprit soit enté sur cet arbre de vie, et
qu'il produise ensuite de dignes fruits de pénitence par les mérites
de la mort du véritable Auteur de la vie!... Ah! Quand est-ce que
nous imiterons parfaitement ce divin Rédempteur qui s'est anéanti
lui-même! Quand serons-nous assez humbles pour nous faire une gloire
d'être l'opprobre des hommes et l'abjection du peuple!... Quand
serons-nous si simples et si petits que nous regarderons comme une
bonne fortune de devenir les derniers de tous et d'être rejetés dans
le néant! Quand notre plus grande peine sera-t-elle d'être estimés
et honorés! Ah! Quand? Ayez la charité de prier Dieu pour moi, afin
qu'il m'en fasse la grâce."
Réflexions sur le combat spirituel
À l'un de ses dirigés Paul de la Croix
écrivit les combats auxquels il fut soumis lors de sa grande
retraite de quarante jours en 1720:
"Que vous serez heureux, mon cher ami,
si vous êtes fidèle à combattre et à vaincre!... à ne pas vous
laisser attendrir par les sentiments de la nature, mais à regarder
en face Jésus crucifié, qui vous invite à le suivre par une faveur
si spéciale. Voilà Celui qui vous tiendra lieu de père et de mère et
de toutes choses. Oh! Si vous saviez les assauts que j'ai eu à
soutenir avant d'embrasser cette vie dans laquelle je suis,
l'extrême répugnance que m'inspiraient le démon et la tendresse
envers mes parents,... leurs espérances selon le monde, reposant
uniquement sur moi; les désolations intérieures, les tristesses, les
craintes! Il me semblait que je n'aurais pu résister.
Le diable me mettait dans l'esprit que j'étais le jouet d'une
illusion, que je pouvais servir Dieu d'une autre manière, que cette
vie n'était pas faite pour moi, etc... et tant d'autres choses que
je passe sous silence. Ce qui m'était plus sensible, c'est que
j'avais perdu tout sentiment de dévotion: je me trouvais aride,
tenté de toutes les manières; le seul son des cloches me faisait
horreur; tout le monde me paraissait heureux, excepté moi.
Enfin, il m'est impossible d'expliquer tous ces grands combats. J'en
fus surtout assailli, lorsque je me vis au moment de prendre l'habit
et d'abandonner le pauvre toit paternel. Tout ceci est la pure
vérité; mais il y a bien d'autres choses que je ne saurais rendre et
que j'omets pour être court. Ainsi donc, courage! Mon cher ami!...
Dans sa Vie
du bienheureux Paul de la Croix, Saint Vincent-Marie Strambi écrit:
"Aux luttes intérieures se joignit une souffrance extérieure fort
vive et fort sensible qu'il n'avait jamais autant ressentie. À peine
eut-il obtenu de Monseigneur l'évêque la permission de prendre le
saint habit, qu'il commença à être très incommodé du froid. Le jour
même qu'il se rendit de Castellazzo à Alexandrie pour revêtir
l'habit religieux, il ressentit en chemin un froid si vif, avant sa
vestition, qu'il en conçut beaucoup de crainte et d'appréhension de
ne pouvoir y résister."
Mais Paul ne tint pas compte de ses
répugnances, car il savait que "lorsque
le Seigneur appelle une âme à une vie austère, il ne manque point de
l'aider, pour qu'elle puisse en supporter les rigueurs si grandes
qu'elles soient."
Bibliographie
Saint Paul de la Croix directeur spirituel
La
correspondance avec sœur Colomba Gandolfi
De Philippe Plet – Éditions Nouvelle Cité
Saint Paul de la Croix prédicateur
Le
fondateur et l'apôtre
De Philippe Plet – Éditions Nouvelle Cité
Saint Paul de la Croix mystique
Le
journal des quarante jours
De Philippe Plet – Éditions Nouvelle Cité
Prier 15 jours avec saint Paul de la Croix
De
Philippe Plet - Nouvelle Cité
Et sur des sites Internet:
Fleurs de la Passion. Pensées de saint Paul de la Croix sur la
Passion et l’Eucharistie. Voir le site Internet:
http://nouvl.evangelisation.free.fr/fleurs_de_la_passion_05.htm
La Passion et la Voie de la Perfection. Voir le site Internet:
http://nouvl.evangelisation.free.fr/fleurs_de_la_passion_03.htm
Vie du bienheureux Paul de la Croix,
par Saint Vincent-Marie Strambi
Sur
le site
http://nouvl.evangelisation.free.fr/paul_de_la_croix_00.htm
Autres sites liés avec
http://nouvl.evangelisation.free.fr/passionistes.htm
* Site de Saint Paul de la croix
* Site officiel de la Congrégation (en anglais, italien, espagnol)
* Site de la Province de France
* Site des Passionistes de Notre-Dame du Cros
* Novice Passioniste |